Brest, Finistère (29)
Mes formations, mes spécialités et ma pratique
Mes formations...
J’ai suivi une formation universitaire en psychologie (licence + master) avec pour spécialité la psychopathologie et la psychogérontologie, par une approche cognitive et comportementale.
Je suis inscrite au répertoire ADELI des psychologues de l’ARS Bretagne (Agence Régionale de Santé) sous le n° 29 931 11 26.
Mes formations complémentaires :
- 2023 - 2024 : en cours de formation EMDR niveau 1 à l'Institut français d'EMDR (IFEMDR)
- 2022 : Praticienne en Education Thérapeutique du Patient (ETP)
- 2020 : Mise en place d’un programme de remédiation cognitive (« Méthode NEAR »)
- 2018 : Relaxation intégrative
Mes spécialités
Bien avant mes études j’avais déjà un intérêt pour les répercussions que pouvaient avoir des événements de vie même des années après leur survenue... Pour être tout à fait honnête, c’est même ça qui m’a donné envie d’être psychologue !
Je me suis donc formée aux thérapies brèves qui visent à soulager de manière concrète les problématiques actuelles (anxiété, manque de confiance, difficultés de gestion des conflits...). Je suis convaincue par leurs intérêts cliniques et thérapeutiques, notamment parce que ça a du sens pour moi de vous permettre d’être acteur et actrice de votre vie. Progressivement, je fais aussi le choix de développer plus spécifiquement mes connaissances et mes champs de compétences vers « le psychotrauma ».
Dans ma pratique, j’aborde donc vos problématiques actuelles sous l’angle de potentielles séquelles faisant suite à des événements de vie difficiles, ou de réel stress post-traumatique. Qu’importe l’intensité émotionnelle vécue à l’époque de l’événement, ou encore la nature des faits en question, selon moi il n’y a pas de règle ou de norme quand on parle de trauma. Il peut s’agir de remontrances, de moqueries, d’agression, de rupture sentimentale, de violence médicale, d’accouchement... : ce que vous avez ressenti et ce que vous ressentez maintenant n’est et ne sera jamais rien.
Il existe plusieurs façons de réagir dans ce genre de situations, les plus connues sont certainement soit de mettre sous le tapis (consciemment ou non) et de continuer sa vie, soit de ne pas parvenir à le faire et de tenter tant bien que mal de continuer à vivre entre rappels involontaires du souvenir (images, odeurs, sons, sensations physiques…) ou faire des efforts pour évitement ces mêmes éléments de souvenir. Le problème dans ces deux exemples, c’est que le cerveau et le corps vont mettre en place des stratégies pour atténuer la souffrance. Ces stratégies vont être efficaces à court terme mais finalement peu pertinentes, voire handicapantes sur le long terme puisque le cerveau et le corps agissent comme si la situation dérangeante était encore présente alors que ce n’est pas le cas. Finalement, ces répercussions peuvent se traduire par une faible estime de soi, des problématiques anxieuses ou encore relationnelles dont les personnes concernées se passeraient bien…
Les souvenirs en question peuvent être « traités » et ne réactivent donc aucune émotion ou sensation physique, mais ce n'est pas toujours le cas… En effet, il peut aussi arriver que votre « vous de l’époque » soit resté blessé par ce qu’il·elle a vécu sans avoir pu recevoir les réassurances, le réconfort dont il·elle aurait eu besoin. La bonne nouvelle est qu’aujourd’hui c’est vous l’adulte et que vous êtes autonome et suffisamment mature pour répondre à vos propres besoins. Que ce soit par le biais de mes outils de base (issus de la TCC entre autres), ou par celui de l’EMDR, je suis profondément reconnaissance que vous me fassiez confiance pour vous accompagner dans ce cheminement, le vôtre.
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A ce jour, je ne peux malheureusement pas recevoir en suivi psychothérapeutique :
- les enfants et les adolescents
- les personnes qui présentent un trouble de la personnalité, un trouble psychotique, un trouble du comportement alimentaire ou encore un trouble neurodéveloppemental
D'autres collègues seront bien mieux formés que moi pour répondre à ces demandes.